Première implantation de commande.

Un plancher constitué par deux feuilles de contre-plaqué de 3 mm. contre-collées recevra les deux servos destinés à contrôler la dérive.

 

Le hauban de dérive est positionné dans la cosse adaptée et l'ajustage est opéré à l'aide des deux tendeurs incorporés, puis, afin de l'empécher de coulisser, il est pincé par les visses et rondelles fixant la cosse.

 

 

Les boucles de cables sont serties dans un manchon à l'aide d'une pince adaptée.

 

 

Deux autres tendeurs assurent le réglage des connections servos-guignols.

 

 

 

Retour au train.

Les colliers de positionnement du train d'atterrissage empéchant les glissements latéraux sont simplifiés par un tronçon de tube auquel deux flasques rapportées sont brasées; leur positionnement s'opère par vissage car, d'une part, les efforts qui s'exercent sur ces pièces sont faibles et, d'autre part, le moment d'inertie du tube est tel que je n'entrevois pas sa rupture à cause des amorces induites par les taraudages.

 

 

Une tôle ajustée protege la menuiserie du train et supporte l'amortisseur de caoutchouc qui y est collé.

Le sandow de 6 mm. est arrêté et fixé par des colliers sertis extraits de tubes en laiton.

 

 

 





Renvois

Les deux poulies, contrairement aux données du "Bouquin" travaillent dans un plan perpendiculaire aux joues du fuselaje car le "manche" est ici remplacé par deux servos jumelés atteignant le couple de bloquage à plus de 40 kg'/cm.

Hauban de dérive

La dérive du HM14 est haubannée par un cable unique coulissant au travers d'une ferrure fixée au niveau d'un gousset du bord de fuite reliant les deux guignols de sorte que les points de traction et l'axe des charnières soient parfaitement alignés; l'ajustage fin est réalisé par une épissure en fil de fer au travers de l'entoilage...
J'ai opté pour une solution plus elegante respectant l'intégrité de l'entoilage.
Un soulier de cable en acier inoxydable est ajusté au bord de fuite permettant le logement du cable sans blessure et un cavalier assurera un improbable dégorgement de ce dernier; le réglage fin s'opérera par deux tendeurs asujettis aux guignols.
Le bouclage des cables est effectué à l'aide de manchons sertis.

Guignols, suite...

Henri Mignet préconisait d'aplatir par martèlement les extrémités des barreaux de guignols préalablement portés au rouge; à moins d'être un forgeron doué doublé d'un ajusteur méticuleux, le résultat est assz décevant et, à vrai dire peu "aéronautique".
Après différents essais, j'ai finalement opté pour des connections en tubes de laiton fourrés et pincés brasés sur les barreau déjà pliés, leur résistance dépasse largement les tolérances de la construction.