martes, 11 de marzo de 2014

Préambule (suite)

Quelques temps plus tard, cela devait être un samedi après-midi car à cette époque l'école était obligatoire le matin et de nombreux travailleurs ne profitaient pas d'un long congé hebdomadaire, la paisible demeure familiale gosselienne retentit d'un grand fracas provenant du lanterneau de la plate-forme : un modèle de vol libre venait de s'y écraser et mon père, s'y précipitant, ramena, tel un objet maléfique, l'épave presque intacte de cet autre oiseau de bois et de papier qu'il s'empressa de restituer à ses propriétaires !

Le Hazard continuait donc à frapper à la bonne porte et à atiser ma curiosité.

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