martes, 11 de marzo de 2014

Préambule (suite)

Il faut aussi dire que nous habitions à 2 km. de la nouvelle piste du champs d'aviation et que tous les gamins étaient fascinés par les évolutions des machines volantes; il faut dire, qu'à l'époque, il n'y avait pas de télévision et encore moins de stupides jeux vidéos,ni de téléphone portable, ni d'ordinateur, ni de tablette, ni...

Quasi toutes les activités avaient lieu en extérieur et, enfourchant nos bicyclettes, nous passions souvent de longs moments le long des barbelés isolant l'aérodrome, admirant les aéronefs à moteurs à pistons aussi bien que les premiers jets comme les F84F, Hawker Hunter ou, plus tard, autres F104G.

Un club vélivole s'y était aussi installé et nous pouvions parfois approcher ces autres gigantesques oiseaux de bois et de toiles blanches remorqués par un SV4 orange capable de toutes sortes d'acrobaties aux mains de son pilote expert.

Là encore, la providence était de mon côté.



1956, l'aérodrome de Gosselies jouxtant la chaussée de Fleurus.

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